Le Secrétaire général de la Confédération Africaine de Football était face à la presse cet après-midi, au cours de l’initiative « Kick and Learn » au Lycée Classique d’Abidjan; il en a profité pour s’exprimer sur l’arbitrage qu’il trouve « au top ».
En marge de la 34e édition de la Coupe d’Afrique des Nations et de la Journée internationale de l’éducation, la CAF a effectué ce mercredi au Lycée Classique d’Abidjan le lancement de son initiative « Kick and Learn » dont l’objectif est d’accroître les valeurs de l’éducation sur le Continent. Au cours de ladite cérémonie, le secrétaire général de la CAF a été interrogé sur certaines actualités brûlantes liées à la CAN actuellement encours en Côte d’Ivoire. Au sujet des critiques qui s’abattent sur l’arbitrage, Veron Mosengo s’est dit surpris qu’elles existent, au regard de la qualité de l’arbitrage qu’il trouve largement satisfaisant.
« Je suis surpris de votre question. Jusqu’aujourd’hui, on nous dit que l’arbitrage est au top, et de très haut niveau. Quant-aux plaintes relatives à la VAR, vous savez que quand on gagne on estime toujours que l’arbitrage est bon, et quand on ne gagne pas, on dit que l’arbitrage est mauvais. C’est un débat que je n’aimerais pas faire. Tout le monde a droit d’émettre des critiques, et moi je ne me sens pas visé. Critiquer la CAF c’est bien, mais, il faut être un peu juste. » a rétorqué le Congolais.
Le Secrétaire général de l’instance faîtière du football africain loue par la suite l’instauration de la VAR, qui selon lui est d’un apport considérable pour l’arbitrage: « On a instauré la VAR qui a apporté une aide considérable à l’arbitrage… Ce sont des débats qui visent à dénigrer notre compétition. On doit être honnête, le niveau de l’arbitrage actuel, c’est le top niveau, et il faut qu’on le reconnaisse. » a-t-il expliqué.
L’arbitrage dans cette 34e édition de la CAN est cependant visé par de nombreuses critiques. Les matchs Algérie – Mauritanie et Sénégal – Côte d’Ivoire ont entre autres, été émaillés de nombreuses contestations, liées à des situations très litigieuses dont le traitement a parfois été à deux vitesses.
