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Guinée – Équipe nationale : Kaba Diawara revient sur les conditions de son limogeage !

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Guinée Foot : L’ancien sélectionneur de l’équipe nationale de Guinée, Kaba Diawara, s’est exprimé pour la première fois sur les circonstances entourant son départ de la tête du Syli National. C’est dans l’émission Talent d’Afrique sur Canal+ que le technicien de 48 ans est revenu sur ce chapitre délicat de sa carrière, qui a pris fin en août 2024. Et cela, après l’élimination de la Guinée aux Jeux Olympiques de Paris 2024.

À la tête de la sélection guinéenne depuis 2021, Kaba Diawara avait suscité beaucoup d’espoir après avoir conduit la Guinée jusqu’aux quarts de finale de la CAN 2023. Ce parcours remarquable, marqué par une victoire contre la Guinée Équatoriale (1-0) en huitièmes de finale, avait redonné confiance à la Fédération Guinéenne de Football (FEGUIFOOT), qui avait choisi de lui confier une mission supplémentaire : une autre qualification de l’équipe olympique U23 lors JO de Paris 2024.

Cependant, cette tâche s’est révélée bien plus ardue que prévu. Malgré les attentes, la Guinée n’a pas réussi à franchir le premier tour du tournoi olympique, une déception qui a précipité la décision de la FEGUIFOOT de se séparer de son sélectionneur en août 2024. C’est lors de ses vacances que Kaba Diawara a reçu un appel décisif du président de la fédération, actant la fin de sa mission.

Des adieux sans amertume !

Lors de son intervention, Kaba Diawara a décrit avec une grande sérénité les conditions de son limogeage, expliquant que la décision lui avait été annoncée de manière respectueuse. « J’ai reçu un coup de fil du président alors que j’étais en vacances. Il m’a appelé tranquillement et m’a dit qu’on stoppe la mission. », a-t-il révélé. « C’est bien ce que tu as fait, mais à un moment donné, il faut s’arrêter. Il m’a clairement dit qu’ils avaient décidé à plusieurs et m’a également dit que c’était fini. »

L’ancien attaquant du Syli National a accepté la nouvelle avec dignité, en précisant qu’il n’y aurait pas de polémique : « C’est le pays. Mais après, il va falloir assumer.

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