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Algérie : Houssem Aouar malade risque de déclarer forfait

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L’équipe nationale d’Algérie a entamé son regroupement au Centre de Sidi-Moussa (Alger) sous la houlette du nouveau coach, Vladimir Petkovic.

Ce dernier ne va pas disposer de l’ensemble des joueurs puisque certains ont rejoint l’équipe blessés, à l’image de Boudaoui et Benrahma, alors que d’autres vont devoir déclarer forfait pour des raisons différentes. En effet, le nouveau sélectionneur des Verts va devoir reporter sa prise de contact avec le milieu de l’AS Roma, Houssem Aouar.

Ce dernier risque de manquer le stage du mois de mars avec l’équipe nationale en raison d’une angine, selon les informations relayées. Ce forfait, bien que regretté, semble être dû à des raisons de santé. La possible absence d’Aouar est un coup dur pour l’équipe algérienne, d’autant plus que celle-ci s’apprête à entamer une nouvelle ère sous la direction du nouveau sélectionneur de l’Algérie, Vladimir Petkovic. Le milieu de terrain, qui évolue actuellement à l’AS Roma, est un élément clé de l’équipe et sa présence aurait été précieuse lors du tournoi FIFA Series à venir.

Brahimi le nouveau patron ?

Le fait majeur de ce premier regroupement post-CAN-2024 a enregistré l’absence de certaines figures de proue. Il n’y a ni Riyad Mahrez, ni Youcef Belaïli, ni Islam Slimani, ni Sofiane Feghouli encore moins Raïs M’Bolhi. Cependant, on signale le retour en sélection du « vétéran » (34 ans) Yacine Brahimi. Incontournable avec Al-Gharafa où il collectionne les buts et les passes décisives, le mondialiste 2014 revient avec le statut de cadre de l’équipe et fort probablement le patron de ce groupe. Un des joueurs de l’ancien sélectionneur, Djamel Belmadi, aura, en effet, une importante carte à jouer face à la Bolivie et l’Afrique du Sud. Tout dépendra, en fait, du rôle que lui déléguera Vladimir Petkovic et sa capacité à jouer juste et être au service au collectif. Son aptitude à encadrer ses jeunes compatriotes et à les faire profiter de son riche vécu, aussi bien dans le haut niveau européen que lors de ses glorieuses épopées avec les Verts (Coupe du Monde Brésil-2014, CAN-2019, Coupe Arabe de la FIFA Qatar-2021) sera, à n’en pas douter, déterminant dans sa pérennité – ou non- au sein de cette EN newlook que commence à bâtir Petkovic.

Gouiri, une revanche à prendre sur le sort

Après avoir raté la Coupe d’Afrique des nations (CAN-2024) à la dernière minute, Amine Gouiri arrive en sélection avec un esprit revanchard. Prendre une revanche sur le sort et montrer qu’il va être un élément indispensable de cette sélection. Son retour ne passera certainement pas inaperçu. Il faut dire que ses premières sorties avec les Verts ont laissé le large public sur sa faim, alors qu’en parallèle il réalisait des prestations flamboyantes en club. Avec l’absence de Slimani, le nouveau coach va-t-il baser son système de jeu, notamment sur le plan offensif, en mettant en exergue les qualité de dynamiteur de l’attaquant du Stade Rennais ? Cette fois, Gouiri n’aura presque aucun prétexte à avancer en cas de petite forme dans la mesure où son rayonnement en Bretagne et ses coups de génies suggèrent qu’il est au firmament physiquement et que ses pépins physiques qui l’ont empêché d’être en Côte d’Ivoire pour la récente CAN font bel et bien partie du passé.

Benzia, rebondir en sélection à 30 ans

Yassine Benzia est-il ressuscité ? Victime d’un grave accident, qui lui avait coûté quelques doigts de la main, la présence de Benzia est fortement attendue par les supporters de l’EN, surtout qu’il n’est jamais anodin de voir un joueur retrouver sa sélection six longues années après sa dernière apparition sous ce maillot. C’est vrai qu’avec 13 buts et 10 passes décisives en 41 rencontres disputées cette saison toutes compétitions confondues, l’attaquant de Qarabag, leader du championnat d’Azerbaïdjan avec 26 points d’avance sur son dauphin, s’illustre avec une régularité qui en dit long sur son potentiel, ce qui lui confère une bien meilleure légitimité que la sienne durant ces six ans d’absence de la sélection tout au long desquels il n’avait trouvé le chemin que 8 fois en 4 championnats différents (Turquie, Grèce, Ligue 1 et Ligue 2 en France). Benzia va prouver à tous ses détracteurs qu’il n’est pas « mort » footballistiquement même s’il est au seuil de la trentaine.

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