Angleterre Foot: Les propriétaires des Spurs ont confirmé avoir reçu deux propositions d’acquisition pour la majorité du club. Mais ils affirment les avoir rejetées sans ambiguïté, rappelant que les Spurs ne sont pas à vendre malgré le départ de Daniel Levy.
Parmi les candidats figurait PCP International, véhicule d’investissement contrôlé par Amanda Staveley, ancienne copropriétaire de Newcastle United. Sky Sports News rapporte qu’elle avait engagé des discussions avec des bailleurs de fonds au cours des dernières semaines pour étudier une possible offre. Toutefois, Staveley devrait annoncer qu’elle ne compte pas reprendre Tottenham, écartant définitivement les rumeurs après le départ de Daniel Levy.
Le refus clair de l’ENIC
L’autre tentative provenait d’un consortium mené par le Dr Roger Kennedy et Wing Fai-Ng via Firehawks Holdings Limited. Dans un communiqué, le conseil d’administration et ENIC, actionnaire majoritaire avec 86,58 % du capital, ont réaffirmé leur position : « Tottenham Hotspur n’est pas à vendre et ENIC n’a aucune intention d’accepter une telle offre. » Une prise de position ferme qui ferme la porte à toute transaction immédiate.
Une valorisation qui pourrait grimper
Si une vente devait avoir lieu dans le futur, Tottenham pourrait être valorisé jusqu’à 4 milliards de livres sterling. Le club est d’ailleurs l’un des rares géants du football anglais à avoir conservé la même structure de propriété depuis près de 24 ans. Daniel Levy avait reconnu l’an passé que des discussions avaient eu lieu pour une participation minoritaire, mais sans aboutir. Pour l’heure, le message reste clair : les Spurs ne changent pas de mains.
