Le contrat d’Alexandre Santos avec le Petro de Luanda arrive à terme le mois prochain. Le technicien portugais a récemment refusé une offre de prolongation de contrat de la part du club angolais. Santos serait intéressé par le banc du club sud-africain Kaizer Cheifs.
L’avenir d’Alexandre Santos s’inscrit loin de Petro de Luanda. A quelques semaines de la fin de son contrat avec le club angolais, l’entraîneur portugais est courtisé par plusieurs formations africaines, dont les Kaizer Chiefs. L’un des plus grands clubs d’Afrique du Sud. L’information a été confirmée par l’adjoint de Santos, qui a déclaré que le club avait donné son feu vert au technicien portugais pour discuter avec les Kaizer Chiefs d’un éventuel transfert.
Kaizer Chiefs s’active pour Alexandre Santos
Les Kaizer Chiefs ont vécu une période difficile ces dernières saisons, n’ayant pas remporté de titre depuis neuf ans. Actuellement, leur place dans le top 8 n’est pas assurée, ce qui souligne le besoin urgent de changement et de stabilité au sein du club. Depuis le départ d’Arthur Zwane à la fin de la saison 2022/2023, les Chiefs ont eu du mal à trouver un entraîneur permanent. Molefi Ntseki et Cavin Johnson ont occupé le poste temporairement, mais aucune solution permanente n’a été trouvée.
Alexandre Santos, qui a refusé de prolonger son aventure avec Petro de Luanda, apparait comme le favori pour succéder à Arthur Zwane sur le banc des Kaizer Chiefs. Le technicien portugais présente un profil attrayant pour le club sud-africain avec un palmarès riche de deux titres de champion d’Angola et d’une demi-finale de Ligue des champions de la CAF atteinte en 2022.
Cependant, les Chiefs ne sont pas les seuls prétendants à Santos. Le Wydad Athletic Club, triple champion d’Afrique en titre, et le Simba SC, géant tanzanien, sont également intéressés par ses services. La concurrence sera donc rude, mais les Chiefs ont mis tout leur poids dans la balance pour attirer Santos, et ils espèrent que sa nomination marquera un nouveau chapitre intéressant pour le club.
