Neal Maupay n’a pas épargné Everton, son ancien club, après une nouvelle défaite de cette dernière face à Nottingham Forest cet après-midi. Désormais à l’OM, il a lancé une pique qui a fait réagir.
Connu pour son franc-parler, Neal Maupay a une nouvelle fois fait parler de lui. L’attaquant de l’Olympique de Marseille n’a pas hésité à se moquer d’Everton, son ancien club, à la suite de leur défaite 2-0 face à Nottingham Forest lors de la 19e journée de Premier League. Sur son compte X, le joueur a lâché une phrase acide. « Chaque fois que je passe une mauvaise journée, je regarde le score d’Everton et je souris », a-t-il lancé. Une déclaration qui n’a pas tardé à provoquer des réactions vives.
Des tensions toujours vives
Parti dans des conditions houleuses cet été, Maupay garde un souvenir amer de son passage à Everton. L’attaquant français avait été pris à partie par certains supporters, que ce soit au centre d’entraînement ou sur les réseaux sociaux. Mentalement, cette période avait été compliquée pour le joueur, qui n’a inscrit qu’un seul but en près de trente matchs avec les Toffees.
Depuis son départ, les relations restent tendues, et les performances décevantes d’Everton, 15e au classement après leur récente défaite, offrent à Maupay l’occasion de régler ses comptes de manière publique.
Une renaissance à Marseille
Sous les couleurs de l’OM, Neal Maupay semble revivre. Avec deux buts et quatre passes décisives en onze rencontres, il montre un visage bien différent de celui affiché en Premier League. À Marseille, il s’illustre aussi par son sens de la formule, comme en témoignent ses piques régulières à l’encontre de clubs comme l’AS Saint-Étienne ou l’Olympique Lyonnais.
Everton en pleine tourmente
Pour Everton, la saison 2024-2025 est un véritable chemin de croix. Avec seulement trois victoires toutes compétitions confondues, le club peine à redresser la barre. Une situation qui semble amuser Maupay, bien installé dans sa nouvelle aventure marseillaise. Si ses punchlines font sourire certains, elles ne manqueront pas de relancer les débats sur son départ mouvementé d’Angleterre.