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LaLiga : 24 ans après, Oviedo et Santi Cazorla retrouvent l’élite

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Espagne Foot: Historique, Oviedo de Santi Cazorla est de retour en Liga, 24 ans après sa dernière apparition dans l’élite du football espagnol. Le club asturien a validé sa montée au terme d’un match retour épique contre Mirandés (3-1), en finale des barrages.

Il aura fallu 8 770 jours au Real Oviedo pour revivre ce frisson : celui de retrouver la première division espagnole. Relégué en 2001, le club a traversé les divisions inférieures, flirté avec l’oubli et survécu à la crise. Mais ce samedi, le rêve s’est enfin réalisé au stade Carlos Tartiere, comble et vibrant, grâce a une victoire renversante face au CD Mirandés en finale retour des playoffs.

Et parmi les héros, un nom incarne mieux que quiconque cette renaissance : Santi Cazorla. L’enfant du club, revenu dans sa localité natale pour une dernière danse, a été aligné d’entrée malgré ses 39 ans, et n’a pas manqué son rendez-vous avec l’histoire.

Une remontée haletante

Le match avait pourtant mal commencé pour Oviedo. À la 16e minute, Panichelli, d’une tête précise, donnait l’avantage à Mirandés, réduisant au silence les 30 000 supporters présents. Mais les joueurs de Veljko Paunovic ont su trouver les ressources.

À la 38e minute, suite à une main adverse dans la surface, Cazorla lui-même transformait un penalty en or, ramenant les siens à hauteur et ravivant la flamme. Après la pause, Oviedo appuyait sur l’accélérateur, et Ilyas Chaira inscrivait le deuxième but à la 52e, libérant tout un peuple.

Le but de la délivrance signé Portillo

Mirandés n’a pas abdiqué et a poussé pour égaliser, envoyant le match en prolongation. Mais au bout de l’effort, c’est Portillo, à la 103e minute, qui allait offrir le but de la montée : un enchaînement rapide dans la surface et une frappe imparable pour porter le score à 3-1.

La suite ? Des larmes de joie, des chants, une ville en fusion, et un Carlos Tartiere en ébullition. L’an dernier, Oviedo avait échoué aux portes de l’ascension face à l’Espanyol. Cette fois, rien n’a pu les arrêter.


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