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Evocation : Le temps où la frontière entre le journaliste et les Verts était presqu’invisible

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Profitant des vacances, c’est l’occasion de faire défiler quelques anciens clichés pour évoquer le temps passé. Le temps où la frontière entre la presse et l’équipe nationale était presqu’invisible.  

Cette photo, qui remonte à 1990, est plus que parlante. Elle est édifiante même, montrant tout simplement le grand journaliste Lakhdar Berriche, ancien de la télévision algérienne et pendant longtemps à BeinSports jusqu’à sa retraite, actuellement en Arabie Saoudite, assis sur un banc à côté du défunt Mourad Abdelouahab entrain de prendre note, alors que de l’autre côté on aperçoit Ali Fergani et surtout le regretté Abdelhamid Kermali. Il ne manquait à ce décor que l’autre regretté, Noureddine Saâdi pour rappeler tout simplement tout le staff de l’équipe nationale vainqueur de la CAN 1990 à Alger.

C’était le bon vieux temps où la frontière entre le journaliste et les Verts était presqu’invisible. Respect, confiance, professionnalisme, et bien d’autres vertus qui permettaient cette proximité avec l’équipe nationale à une époque où la technologie n’avait pas encore envahi tous les espaces et bouleverser les mœurs.

C’était aussi le temps où des journalistes pouvaient accompagner la sélection dans ses expéditions au fin fond du continent, à l’époque où les médias nationaux se comptaient sur le bout des doigts.

C’était l’époque où de belles plumes et des voix inoubliables décrivaient les prouesses des footballeurs, sublimaient les victoires et rendaient humaines les défaites. L’époque où l’on travaillait pour le seul intérêt de l’équipe nationale.

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