Finalement, le sélectionneur national Vladimir Petkovic n’était pas présent au stade Hocine Aït Ahmed, comme l’annoncèrent certains. Il devait être à Alger hier soir, por entamer les préparatifs du prochain stage.
Où sont passés tous ceux qui exigeaient à ce qu’un sélectionneur national doive être présent souvent en Algérie pour travailler, préparer les stages, suivre les matchs et les joueurs locaux, s’occuper du gazon du Centre technique national (CTN) de Sidi Moussa, et bien d’autres missions ?
Certains sur des plateaux TV ou des youtubeurs n’hésitaient pas à casser du sucre sur le dos de l’ancien sélectionneur, Djamel Belmadi, l’accusant d’être souvent absent, et se contentait seulement des dates FIFA pour rejoindre son lieu de résidence à Alger, à savoir sa chambre au CTN de Sidi Moussa.
Après avoir passé les tous premiers mois à se balader de club en club, de la Ligue 1 Mobilis, à visiter les Musées et les monuments, à faire un crochet à la Grande mosquée d’Alger et à découvrir l’art culinaire algérien, ainsi que recevoir un tas de cadeaux, Petkovic a fini par se rendre à l’évidence et revenir à la ‘’normale’’ en se contentant des stages FIFA pour rester dans le pays.
La bonne blague de maintenir un coach national et pourquoi pas ses adjoints, puisqu’ils doivent bien travailler ensemble, n’a finalement duré qu’un temps.
Le temps de faire passer la pilule à une opinion pour dénigrer l’ancien sélectionneur national, alors que son contrat ne l’oblige nullement de demeurer en Algérie et qu’avec l’évolution de la science et de la technologie, tout technicien pour travailler à distance et en contact permanent avec tout le monde, que ce soit ses proches collaborateurs, ou d’autres intervenants ou employés de la fédération.
On a rappelé cette histoire ridicule du sélectionneur Algérois, juste pour remettre les choses dans leur ordre naturel et rafraichir la mémoire à ceux qui tentèrent de tromper les incrédules parmi les fans des Verts.