La Finalissima se profile à l’horizon : en mars prochain, l’Espagne, championne d’Europe en titre, devrait affronter l’Argentine, détentrice de la Copa América. Grâce à ses deux victoires inaugurales en qualifications pour la Coupe du monde 2026, la Roja s’est mise dans une position idéale pour éviter les barrages et confirmer ce duel prestigieux.
L’Espagne trace sa route
Après un large succès en Turquie (6-0 à Konya) et une première victoire convaincante lors de ces éliminatoires, l’équipe de Luis de la Fuente a pratiquement sécurisé sa qualification directe. Seul un scénario catastrophe empêcherait désormais la Roja de boucler son billet pour le Mondial. Cette sérénité offre une fenêtre parfaite pour organiser la Finalissima, héritière de la tradition qui oppose les champions continentaux.
Une date déjà dans les agendas
La période du 23 au 31 mars a été retenue pour cette rencontre au sommet. L’Argentine, déjà qualifiée pour le Mondial 2026, attendait que la situation de l’Espagne soit clarifiée afin d’officialiser l’affiche. La Roja, libérée de la menace des barrages, a désormais ouvert le chemin vers ce choc très attendu.
Si la logique voudrait que cette deuxième édition de la Finalissima se joue en Amérique du Sud, d’autres destinations sont à l’étude. Les États-Unis, le Qatar ou encore l’Arabie saoudite se tiennent prêts à accueillir l’événement, offrant un rayonnement international encore plus fort. Peu importe le lieu, le rendez-vous entre les champions d’Europe et d’Amérique s’annonce comme l’un des grands événements footballistiques de 2025.