L’entraîneur belge Yannick Ferrera, remercié après seulement treize matchs à la tête de Zamalek, est revenu sur les conditions de son départ, intervenu le 1er novembre 2025, après un match nul 1-1 contre le National Bank of Egypt.
L’aventure de Ferrera au Caire aura été brève. Arrivé l’été dernier pour relancer un géant du football africain, quatorze fois champion d’Égypte et quintuple vainqueur de la Ligue des champions, le technicien belge a été démis de ses fonctions alors que l’équipe occupait la quatrième place du championnat et restait sur quatre rencontres sans victoire. Le club a annoncé la nomination d’Ahmed Abdel Raouf pour lui succéder.
Ferrera a réagi en exprimant son désaccord sur la manière dont la rupture s’est déroulée. « Je n’ai pas apprécié la manière dont le Zamalek m’a congédié. J’ai été renvoyé sans préavis. Je l’ai appris par des amis et des journalistes sur WhatsApp », a-t-il déclaré. Une sortie qui souligne la brutalité de cette fin de collaboration.
Pour le Belge, ce rapide passage au Zamalek avait tout d’un défi ambitieux. Il s’est finalement achevé abruptement, treize matchs après son arrivée.
