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Centrafrique : Célestin Yanindji en lice pour briguer un nouveau mandat à la FCF

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La Fédération Centrafricaine de Football a dévoilé ce samedi 11 mai la liste officielle des candidats aux différents postes de son Comité exécutif. A la tête de cette liste unique figure sans surprise le président sortant, Célestin Yanindji, candidat à sa propre succession.

Après quinze ans passés à servir la Fédération Centrafricaine de Football (FCF) en tant que vice-président, Célestin Yanindji a été porté à la tête de l’instance pour la prochaine fois en 2020. Alors qu’il arrive à la fin de son mandat cette année, il postule pour briguer quatre nouvelles années aux commandes du football centrafricain. Il est à la tête de la liste unique officialisée ce samedi dans le cadre des élections du 1er juin prochain.

Il dirige une équipe qui n’a pratiquement pas changé de visage avec Clément Ndombe comme premier vice-président. Michel Bruno Alima est le deuxième vice-président alors que Serge Hyppolite Mayer est le troisième vice-président. A son actif, Célestin Yanindji présente l’un des bilans les plus reluisants de l’histoire du football centrafricain ces dernières années. Sous son mandat, les Fauves du Bas-Oubangui, presque toujours dans l’anonymat, ont frôlé la qualification à une CAN pour la première fois de leur histoire.

Des réalisations remarquables pour le football local

Pour celui qui s’apprête à s’offrir un nouveau mandat à la tête de la CFC, c’est l’un de ses plus grands objectifs pour les quatre prochaines années s’il reçoit l’aval du corps électoral. « C’est une phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations pour les Fauves de Bas-Oubangui », a-t-il confié. La FCF dispose désormais d’un centre technique dont la mission consiste à former des jeunes footballeurs afin d’assurer le relai et le développement du football en Centrafrique.

Le football féminin aussi est pris en compte avec la construction d’un Centre de formation en « football féminin » en Centrafrique. Ce centre s’inscrit dans le cadre « du développement du football sur l’étendue du territoire centrafricain », a expliqué Célestin Yanindji. Seul gros regret, qui sera sans doute l’un des combats à mener les années à venir, c’est la rénovation du Complexe sportif Barthelemy Boganda. Il est suspendu depuis plusieurs années, obligeant l’équipe nationale à jouer ses matchs en terrain neutre.


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