La Côte d’Ivoire est prête pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023. Le pays hôte de cette 34e édition du tournoi s’attelle avec les derniers réglages de l’organisation.
Si les pelouses retiennent particulièrement l’attention par leur qualité et leur attractivité, c’est aussi grâce à l’expertise algérienne, une fois encore sollicitée pour le revêtement des pistes d’athlétisme des six stades de la compétition.
A moins d’une semaine du coup d’envoi de la CAN 2023, la Côte d’Ivoire a entrepris un tout dernier chantier au niveau des six stades de la compétition prévue du 13 janvier au 11 février 2024. C’était le vœu des Ivoiriens et il est bien exaucé puisque les pistes d’athlétisme ne seront pas laissées dans leur état initial en fond rouge. En effet, le COCAN et l’Office National des Sports ont entrepris le revêtement de ces pistes qui entourent les pelouses. Et à l’instar des pelouses, l’expertise algérienne est une fois encore mise à contribution.
L’expertise algérienne au service de la CAN 2023
La Côte d’Ivoire a choisi la société algérienne « Tapidor » pour recouvrir les pistes des stades de la CAN 2023. Cette société s’était rendue encore plus célèbre pour avoir réalisé les mêmes travaux lors du CHAN 2022 disputé en Algérie. Ils ont contribué à rendre plus attrayants les stades à Oran, Constantine et Annaba, aux couleurs de la compétition avec une moquette conçue et fabriquée pour la circonstance. Basée à Oran, en Algérie, la société Tapidor est spécialisée dans la fabrication des Tapis et moquettes.
Le panafricanisme à travers la CAN
Avant lui, c’est Brahim Bouhaitham qui a fait parler de lui grâce à son excellent travail réalisé sur les pelouses des différents stades. Il s’agit d’un spécialiste algérien en matière de revêtements de pelouses. Il joue un rôle central dans la supervision des installations de sol des stades en Côte d’Ivoire pour la CAN 2023. Son expertise contribue à la mise en place de terrains impeccables pour les installations sportives du pays en préparation de la Coupe d’Afrique des Nations. En sollicitant l’expertise d’autres Africains, la Côte d’Ivoire vient ainsi rappeler au sens de tous le caractère panafricaniste que revêt la CAN.
