Pas de compromis entre Djamel Belmadi et Walid Sadi, comme annoncé par AFU. Le sélectionneur algérien a quitté Alger lundi sans rien signer , ni dire. Il a pris ses affaires et s’est rendu à Doha envoyant la balle dans le camp de la FAF. Celle-ci à court de solutions n’a rien proposé depuis jeudi.
Son président Walid Sadi a tenté d’infléchir Belmadi auprès de qui il a envoyé quelques relations en commun. Une « mauvaise idée » dans la mesure ou Belmadi ne voulait entretenir que le patron de la fédération à qui il avait demandé de faire des propositions.
Désormais, le statut quo n’étant favorable à aucune partie, Belmadi attend des avances de la part de la FAF. Cette dernière sait qu’elle est en devoir de lui payer ses émoluments jusqu’au dernier centime tente de trouver une faille dans le contrat signé par Djahid Zefizef en janvier 2023, soit au lendemain de l’expiration de son premier bail.
Sadi a chargé, pour ce faire, le service juridique de la fédération ainsi que des experts indépendants aux fins de trouver quelques « brèches » dans le document signé il y a une année. Un contrat dans lequel la FAF ne mentionne pas d’objectifs pour cette édition de la CAN se contentant de l’objectif suprême, à savoir la qualification au mondial 2026.