Le club tunisois a rendu public, jeudi après-midi, le verdict du Tribunal Arbitral du Sport (TAS), qui a réduit l’indemnité en sa faveur à 197 000 euros et ce, dans l’affaire qui l’oppose à son ancien joueur, l’Algérien Elyès Chetti.
L’affaire remonte à presque deux ans. En juin 2022 alors qu’il était sous contrat avec l’Espérance de Tunis pour encore une année, l’arrière gauche algérien, Elyès Chetti, a demandé à résilier son bail. N’obtenant pas une réponse favorable à sa requête, il a résilié unilatéralement son contrat et est parti monnayer son talent au club français, Angers SCO. L’Espérance de Tunis a déposé dès lors une plainte et le verdict du Tribunal Arbitral du Sport vient de tomber.
Dans un communiqué rendu public par l’Espérance de Tunis, ce jeudi après-midi, le TAS a réduit l’indemnité en faveur du club tunisois à 197 000 euros : “Le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) a rendu une décision dans l’affaire Elyes Chetti, confirmant le caractère abusif de la résiliation du contrat liant le club au joueur, au tort de celui-ci, tout en réduisant le montant de l’indemnité allouée à l’EST à 197 000 euros en plus des intérêts de retard aux taux de 5% à compter du 30 septembre 2022. Cette indemnité sera supportée solidairement par le joueur et le club français d’Angers que le TAS a considéré comme étant responsable, avec le joueur, du préjudice subi par l’Espérance.”, peut-on lire dans le communiqué du club “sang et or”.