Le versement des primes de victoire n’a pas suffi pour leur faire changer d’avis aux joueurs : ils maintiennent leur grève à une semaine de la reprise du championnat.
L’Union Sportive de Tataouine devait reprendre les entraînements depuis le 15 de ce mois, mais la reprise a été reportée à une date ultérieure. Le report a été décidé par la direction du club le temps de trouver une solution aux problèmes financiers.
Jeudi, les primes de victoires ont été versées, mais cela n’a pas suffi pour leur faire changer d’avis aux joueurs : ils maintiennent leur grève à une semaine de la reprise du championnat, sachant que durant toute la trêve, l’équipe n’a effectué la moindre séance d’entraînement.
La crise s’éternise et le président de l’US Tataouine, Akrema Ouadhen, ne sait plus que faire pour y mettre fin, lui qui n’a pas les ressources financières nécessaires pour subvenir aux besoins de l’équipe. Et il n’est pas le seul dirigeant en Ligue 1 qui soit confronté à ce genre de problèmes.