Entre Belmadi et Sadi c’est « je t’aime, moi non plus » et cela s’est vérifié lors de la dernière fois que les deux hommes se sont adressés la parole. Cela s’est passé lundi, quelques jours avant que Belmadi ne déménage de Sidi Moussa.
Le président de la président de la FAF, las de trouver un terrain d’entente avec le sélectionneur, a fait une offre de service qu’il pensait allait faire plaisir à Belmadi. Sadi proposera en effet une escorte policière pour le transfert de Belmadi de Sidi Moussa à l’aéroport Houari Boumediene. Mal lui en prendra, car Belmadi entrera dans une colère noire qui en dit long sur sa pensée envers Walid Sadi. Sa réponse sera telle (« je ne suis ni criminel ni ennemi du peuple », ndlr) que la communication téléphonique s’est brusquement arrêtée…