Le Real Madrid a vécu une soirée confuse et explosive face à Elche (2-2) en Liga , arrachée grâce à deux buts égalisateurs tous deux entachés d’irrégularités.
La polémique enfle ! La main de Bellingham sur le premier but, puis une faute de Vinicius sur le gardien Iñaki Peña sur le second. Le coach d’Elche, Eder Sarabia, fulmine et dénonce un arbitrage qui aurait, encore une fois, favorisé le Real Madrid.
Le Real Madrid a frôlé la catastrophe ce dimanche 23 novembre 2025. Menés par une valeureuse équipe d’Elche, les Merengue ne doivent leur nul qu’à deux actions qui suscitent des polémiques. Sur le premier but, Bellingham touche le ballon du bras avant l’égalisation : une séquence flagrante qui, selon de plusieurs, aurait dû entraîner l’annulation de l’action. Malgré l’intervention de la VAR, le but a été validé.
Sur le second, Vinicius entre en contact avec le gardien Iñaki Peña, le frappant au visage lors du duel. Le portier d’Elche ressort avec le nez en sang, mais l’arbitre valide malgré la Var et le Real inscrit le 2-2.
La colère explosive du coach Eder Sarabia
À la fin du match, Eder Sarabia ne cache pas sa frustration. Le technicien d’Elche estime que les deux actions litigieuses sont “claires”, “évidentes”, et ne peuvent souffrir d’aucune interprétation. Sa déclaration est sans filtre : « Vinicius lui donne un coup au visage, vous avez vu le nez d’Iñaki Peña ? C’est une faute claire. Je peux comprendre que l’arbitre ne le voit pas pendant l’action. mais la var existe pour ce genre de situation ! » Une sortie médiatique forte, qui enflamme les réseaux sociaux et place encore une fois la VAR au cœur du débat en Liga.
Un débat relancé : le Real est-il favorisé ?
La polémique n’est pas nouvelle : à chaque décision ambiguë qui tourne en faveur du Real Madrid, une partie du public espagnol dénonce un « copinage arbitral ». La rencontre contre Elche ne calme rien. Au contraire, elle renforce l’idée, pour certains supporters, que le Real bénéficie d’une forme de clémence systémique dans les moments clés. La Liga, elle, voit son débat sur l’arbitrage relancé et brûlant.
