Mercato foot : Kevin De Bruyne pourrait être la prochaine grande star européenne à poser ses valises en Major League Soccer. New York City FC et DC United sont les deux derniers clubs à manifester un intérêt pour s’attacher les services du stratège belge.
Alors que son contrat avec Manchester City prend fin en juin 2025, Kevin De Bruyne semble désormais ouvert à un dernier grand défi avant de tirer sa révérence au plus haut niveau. Et c’est de l’autre côté de l’Atlantique que le maestro belge pourrait bien poursuivre sa carrière. Déjà dans le viseur de Chicago Fire, l’Inter Miami et San Diego, le Diable Rouge voit sa liste de prétendants s’allonger davantage.
Deux nouveaux clubs de MLS sur les rangs
D’après les révélations du média américain The Athletic, New York City FC et DC United se livrent une véritable bataille en coulisses pour tenter de convaincre l’international belge (109 sélections, 30 buts). À 33 ans, De Bruyne réfléchit à son avenir et voit la Major League Soccer comme une opportunité alliant défi sportif et cadre de vie attrayant pour sa famille.
New York City FC part avec un avantage non négligeable : le club appartient au City Football Group, structure également propriétaire de Manchester City. Une continuité naturelle qui pourrait séduire le joueur, tout comme l’ambition du club new-yorkais de redevenir une place forte de la ligue.
De l’autre côté, DC United, en quête de reconstruction, rêve d’un recrutement à la hauteur de son glorieux passé. Après avoir tenté l’expérience Wayne Rooney, la franchise de la capitale américaine mise désormais sur le profil technique, sobre et charismatique de De Bruyne pour enclencher une nouvelle dynamique.
L’Amérique plutôt que l’Arabie saoudite ?
Si plusieurs clubs saoudiens ont également manifesté leur intérêt, la MLS semble tenir la corde. Le championnat nord-américain, en plein essor depuis l’arrivée de Lionel Messi à l’Inter Miami, séduit de plus en plus de joueurs européens en quête d’un dernier chapitre prestigieux.
Kevin De Bruyne ne fait pas exception. Soucieux de son image et de son environnement de vie, le meneur de jeu privilégierait les États-Unis, où le football continue de gagner en crédibilité et en exposition internationale.