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Mexique : Cruz Azul porte plainte contre Martín Anselmi devant la FIFA

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Mexique Foot : Deux mois après le départ de Martín Anselmi de Cruz Azul, la Máquina Cementera a porté plainte contre l’entraîneur argentin devant la FIFA. Il lui ai reproché d’être parti à Porto sans payer la clause libératoire correspondante.

Dans un document de 43 pages soumis à la Chambre du statut des joueurs de la FIFA, l’organisme qui gère ce type de litiges, le club mexicain a décrit étape par étape la situation qui a conduit l’institution à résilier le contrat de travail de l’Argentin. Dans le procès, Cruz Azul demande à la FIFA de forcer Anselmi à payer la clause libératoire de 5 millions de dollars plus les taxes applicables. Si cette demande n’est pas acceptée, la Société demande une indemnisation de 3 458 644 USD, soit un montant équivalent à la « valeur résiduelle du contrat à la date de résiliation ». L’Argentin doit désormais répondre par l’intermédiaire de ses avocats et, une fois que la FIFA aura toutes les preuves, elle rendra une décision, qui pourra faire l’objet d’un appel devant le TAS. Dans ce cas, la Machine est représentée par Muñoz et Arias Sports Lawyers, un cabinet d’avocats espagnol.

Selon le récit de Cruz Azul dans la plainte, un jour avant le premier contact entre les clubs, Anselmi a informé Víctor Velázquez et Iván Alonso, le président et directeur sportif du club, de l’offre de Porto. C’est-à-dire que l’entraîneur a manifestement négocié son arrivée à Porto dans le dos du club et a exprimé son désir de quitter Cruz Azul. Dans son contrat, Anselmi avait trois clauses : la première était de 3 000 000 $ s’il était recherché par un club en Espagne ou par l’équipe nationale mexicaine ou argentine ; le deuxième, de 6 000 000 s’il a été réclamé par un autre club affilié à la FMF ou appartenant à un groupe multiclub dont la relation est de fait ou de droit avec un club de la FMF et/ou de la Liga MX ; et le troisième, de 5 000 000 si une autre institution qui n’était pas incluse dans les deux exemples précédents le souhaitait. Dans ce dernier cas, c’est Porto qui entre. Cruz Azul affirme n’avoir jamais trouvé d’accord avec le Portugais et a même notifié à plusieurs reprises l’entraîneur argentin qu’il commettait des « violations contractuelles flagrantes » et lui a demandé de retourner au travail et de ne pas se rendre au Portugal.

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