Asie Foot : Revenu en Sélection nationale après plus de 7 mois d’absence, Brandon Borrello (11 matchs, 2 buts avec les Socceroos) est heureux de renouer avec l’équipe fanion de l’Australie. L’attaquant de Western Sydney bénéficie de son bon début de saison avec son club en championnat.
Auteur de 2 buts et 2 passes décisives en 4 matchs de A-League Men en Australie, Brandon Borrello est appelé par Tony Popovic, le sélectionneur des Socceroos. Il est dans le groupe qui joue les 5è et 6è journées des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 dans la zone Asie. Revenu en sélection nationale, le joueur de 29 ans n’a pas caché sa joie. Il s’est prononcé au micro de la presse locale, à 48h du premier match de l’Australie contre l’Arabie Saoudite jeudi prochain. » Je suis ravi. Cela fait un moment que je ne suis pas allé en sélection nationale, environ huit mois. Je suis presque sûr que mon fils est né une semaine avant mon dernier camp. Donc ça fait tout ce temps, mais c’est évidemment une grande confiance d’être appelé, surtout par le nouvel entraîneur. Donc j’attends ça avec impatience. », a-t-il déclaré avant d’évoquer sa surprise. « En général, on a un certain sens de l’organisation. Les physiothérapeutes vous diront qu’ils vous surveillent, et vous devez vous assurer que vous êtes en forme, que vous vous tenez au courant et que vous les informez de ce qui se passe. Mais savoir que vous faites partie de l’équipe arrive quelques jours avant l’obtention du billet d’avion pour venir au campement. Donc oui, c’est toujours un moment excitant, mais c’était juste une journée normale. C’est probablement comme ça que je l’aime. », a ajouté Brandon Borrello.
Le maillot national, une importance capitale
Avoir été appelé, surtout sous les ordres d’un nouveau sélectionneur constitue beaucoup pour l’attaquant de 29 ans. Pour Brandon Borrello, porter le maillot de l’équipe de l’Australie est une fierté. « D’abord, il y a la pression de se qualifier pour une Coupe du monde. Ensuite, c’est un immense privilège. C’est le summum de notre sport, de jouer pour l’équipe nationale. C’est un privilège, mais on ne peut pas le prendre pour acquis, parce qu’on est dans un camp et ensuite on est hors-jeu pendant 18 mois, ou alors on ne sait jamais ce qui va se passer. Donc à chaque fois que vous venez au camp, vous devez vous assurer de faire de votre mieux. », a martelé Brandon Borrello.