Coupe du monde des clubs 2025 : Battus tous deux après leurs deux premières sorties, le WAC et Al-Ain se rencontrent ce jeudi 26 juin 2025 (19h00 GMT) pour leur troisième match du tournoi. Une rencontre au cours de laquelle les deux équipes voudront sauver l’honneur et toucher une alléchante prime de victoire de 2 millions de dollars.
La phase de groupes de la Coupe du monde des clubs 2025 tire vers sa fin. Encore quelques matchs, et 16 des 32 clubs qualifiés diront définitivement aurevoir à la compétition. Parmi les groupes dans lesquels les troisièmes matchs sont toujours d’actualité, il y a le G. Même si les deux clubs qualifiés sont déjà connus, il y a une troisième place pour l’honneur qui est toujours en jeu entre le WAC et Al-Ain. Les deux équipes s’affrontent ce jeudi pour l’honneur.
Avantage au WAC
Sur papier et au vu des différents résultats enregistrés par les deux clubs, le Wydad part favori de cette ultime rencontre. Le club venu du Maroc a encaissé 6 buts et en a marqué un. Un bilan nettement mieux que celui d’Al-Ain. Pour sa première sortie, le club des Émirats arabes unis a été battu sur le score de 5-0 par la Juventus. Par la suite, il a été victime de l’efficacité offensive de Manchester City, s’inclinant 6-0. En deux matchs, les Émiratis ont encaissé onze buts sans rien marquer. Ce qui devrait être à l’avantage des Marocains qui ont au moins inscrit un but contre la Juventus.
Une manne financière bienvenue
Ce match conserve aussi un enjeu financier non négligeable. En cas de victoire, le club marocain pourrait en effet empocher une prime de 2 millions de dollars, une récompense significative malgré l’absence de qualification.
Au-delà de cette prime de performance, chaque club africain engagé dans cette édition du tournoi reçoit également une dotation fixe de 9,55 millions de dollars. Une somme importante qui contribue à renforcer la stabilité financière des participants. Pour le Wydad, une victoire finale viendrait donc s’ajouter à ce montant, offrant un soulagement économique bienvenu dans un contexte toujours exigeant pour les clubs africains.
