Coupe du Monde des Clubs 2025 : Le Paris Saint-Germain retrouve le Bayern Munich, son plus grand bourreau européen en quart de finale de la Coupe du Monde des Clubs, ce samedi 5 juillet à 16h00 GMT. Mais cette fois, les Parisiens arrivent en pleine forme, bien décidés à inverser l’histoire.
C’est un choc qui sent la poudre. Le Paris Saint-Germain affronte ce samedi le Bayern Munich en quart de finale de la Coupe du Monde des Clubs dans une affiche prestigieuse aux allures de revanche. En effet, le club allemand a dominé les confrontations récentes. Mais à l’heure où le PSG affiche une dynamique solide, les cartes pourraient être redistribuées.
Un lourd passé à effacer
Depuis décembre 2017, les deux clubs se sont affrontés à sept reprises. Le bilan est sans appel avec six victoires bavaroises, une seule défaite, 11 buts inscrits contre 4 encaissés, et cinq clean sheets pour les Munichois. Cette série comprend notamment la finale de la Ligue des champions 2020, perdue 1-0 par Paris à Lisbonne, mais aussi une double élimination en huitièmes de finale en 2023. La dernière opposition, le 26 novembre 2024, s’est soldée par un nouveau succès du Bayern (1-0) à l’Allianz Arena. Mais depuis, le PSG a changé de visage.
Un PSG métamorphosé
Sous la houlette de Luis Enrique, le Paris Saint-Germain vit un début de saison 2025 éclatant. Solide défensivement, inspiré offensivement, le club de la capitale semble avoir trouvé un équilibre nouveau. Dembélé est au sommet de son art, les recrues sont bien intégrées, et la mentalité a changé. À l’image de ses dernières sorties en Ligue des champions et en Coupe du Monde des Clubs, Paris aborde ce quart de finale avec confiance, régularité et ambition.
Le match de la bascule
Pour le PSG, ce match contre le Bayern ne sera pas seulement un quart de finale mais une occasion historique de briser la malédiction bavaroise et de tourner la page d’un passé douloureux. Il s’agit pour les champions d’Europe s’imposer enfin comme une référence mondiale. À l’inverse, le Bayern, fort de son historique face à Paris, voudra rappeler qu’il reste un maître de l’Europe et désormais du monde.