Coupe du Monde des Clubs 2025 : Le Paris Saint-Germain et Chelsea ravivent une rivalité forgée dans la douleur, la tension et les souvenirs inoubliables en Ligue des champions. Une confrontation entre deux géants du football européen, dont l’histoire commune est marquée par des affrontements à haute intensité.
Tout commence en 2004, en phase de groupes de la Ligue des champions. Chelsea s’impose sèchement 3-0 au Parc des Princes avant de concéder un match nul à Stamford Bridge. Mais cette première rencontre reste sans lendemain immédiat
Le tournant de 2014 : la blessure parisienne
Il faudra attendre dix ans pour que la tension monte d’un cran. En 2014, les deux clubs se retrouvent en quarts de finale. Paris l’emporte 3-1 à l’aller grâce à une prestation maîtrisée, mais Chelsea renverse la vapeur au retour avec une victoire 2-0, se qualifiant de justesse grâce à la règle des buts à l’extérieur. Une élimination au goût amer pour le PSG, qui ne l’oubliera pas.
2015 : la revanche parisienne
La saison suivante, en 2015, le PSG prend sa revanche. En huitièmes de finale, les deux équipes se quittent sur un nul 1-1 à l’aller. À Londres, dans une ambiance électrique, Paris joue en infériorité numérique pendant plus d’une heure après l’expulsion de Zlatan Ibrahimović. Malgré cela, David Luiz et Thiago Silva permettent au PSG d’arracher un 2-2 en prolongation. Cette fois, la qualification sourit aux Parisiens, toujours grâce aux buts marqués à l’extérieur. Une page d’histoire est tournée.
2016 : Paris prend le dessus
En 2016, les deux clubs s’affrontent une dernière fois en huitièmes de finale. Cette fois, Paris ne tremble pas. Deux victoires identiques (2-1 à l’aller et au retour) avec un grand Ibrahimović offrent une qualification tranquille aux hommes de Laurent Blanc. Le PSG a alors inversé la dynamique, prenant l’ascendant psychologique et sportif sur son rival londonien.
Avant la finale mondiale de 2025, le bilan global des confrontations officielles est équilibré : 12 matchs, 3 victoires pour Paris, 4 pour Chelsea et 5 nuls. Les deux clubs ont inscrit exactement 17 buts chacun. Une parité parfaite qui reflète l’intensité de cette rivalité européenne.
