Cinq images qu’on ne peut pas oublier de ce Mondial exceptionnel disputé au Qatar que nous avons choisi de vous présenter à travers cet article.
Le Lion Aboubakar croque le Brésil
Victoire historique du Cameroun contre le Brésil (1-0) ! Sorti de nulle part, Vincent Aboubakar a crucifié la Seleçao en marquant un but dans le temps additionnel, alors qu’on se dirigeait vers un partage de points vierge. Certes ce but n’a rien changé côté classement puisque le Brésil était déjà assuré de remporter le groupe et que le Cameroun a été éliminé, mais c’était un moment magnifique pour l’Afrique. Le plus beau dans tout ça, Aboubakar a fêté comme il se doit le but, enlevant le maillot et se faisant expulser dans la foulée pour un deuxième avertissement. C’est le plus beau carton rouge de sa carrière.
Les Saoudiens, bourreaux de Messi et de l’Argentine
22 novembre 2022, le jour où la Coupe du monde a connu sa première grosse sensation. Alors que les pronostics faisaient état d’un large succès des Argentins sur un score fleuve, ces derniers ont finalement rendu leurs armes face à une incroyable équipe saoudienne. Les hommes d’Hervé Renard, menés (1-0) et complètement dominés, ont sorti leurs griffes pour l’emporter (2-1) dans un match qui restera à jamais dans la mémoire des supporters saoudiens.
Le Maroc, un véritable conte de fée
Le Maroc a honoré l’Afrique et c’est un des Tops de ce tournoi qatari. Les coéquipiers d’Achraf Hakimi ont livré un Mondial impressionnant où ils ont mis à la porte des grands calibres dont la Belgique, l’Espagne et le Portugal. La marche était trop haute pour les hommes de Walid Regragui contre la France en demi-finale et l’expérience a joué un rôle déterminant dans ce duel.
Le Japon, bourreau de l’Allemagne et de l’Espagne
Si l’Arabie Saoudite, le Cameroun et la Tunisie ont signé une victoire inattendue chacun, respectivement contre l’Argentine, le Brésil et la France, le Japon a doublement surpris, lui, en battant tour à tour l’Allemagne (2-1) et l’Espagne (2-1) pour finir en tête du très relevé groupe E, avant de chuter en huitièmes devant la Croatie (1-1 a. p., 3 t. a. b. à 1). Un parcours mémorable pour les Samouraïs.
Le sacre de Lionel Messi avec le « bisht »
Tamim bin Hamad Al Thani, l’émir du Qatar, et Gianni Infantino, président de la FIFA, s’étaient chargés de placer le « bisht » sur Messi au moment où il allait lever haut le trophée. Un moment qui restera à jamais gravé dans les mémoires. C’était un couronnement pour l’un des meilleurs joueurs de tous les temps pour sa dernière Coupe du Monde.