Conférence de presse de Djamel Belmadi : Amateurisme et mauvaise foi d’un journaleux camerounais
Ce dernier a gâché l’excellente ambiance dans laquelle s’était déroulée la rencontre avec les médias. Dommage.

L’Algérie fait peur au Cameroun et la preuve ces dernières tentatives de journalistes camerounais de déstabiliser Djamel Belmadi et ses joueurs.La dernière question posée à Djamel Belmadi, évoquant le décès de l’ancien joueur de la JS Kabylie (2014), Albert Ebosse, a mis à nu les basses manœuvres camerounaises pour faire sortir les joueurs algériens du match, avant même qu’il ne commence. Cette question venant d’un journaliste de la radio nationale camerounaise a divulgué les mauvaises intentions de son auteur et ses commanditaires sur un sujet clos depuis des années. Djamel Belmadi a d’ailleurs refusé de répondre à son auteur, lui reprochant d’avoir gâché l’excellente ambiance dans laquelle s’était déroulée la conférence de presse. Ceci étant, la famille du défunt footballeur a été doublement indemnisée par la fédération algérienne de football et par l’ancien président de la JS Kabylie le regretté Mohand Chérif Hannachi, qui s’était personnellement déplacé chez elle. Les membres de cette famille ont refusé de répondre aux sollicitations d' »africafootunited » pour faire la lumière sur le sujet.
Et voilà que huit années plus tard, des journalistes camerounais, sur injonctions de leurs maîtres, viennent déterrer cet incident fort regrettable, car Albert Ebosse était très apprécié à la JS Kabylie, dans l’espoir de l’utiliser comme moyen pour déstabiliser la sélection algérienne. L’objectif inavoué est de sortir ce match de son contexte purement sportif et d’instaurer un climat de haine et de nervosité. Cette sale besogne a été confié à des mercenaires, qui n’ont rien compris au fair-play et à la noblesse du sport, qui est avant tout un facteur de rapprochement entre les peuples. Malheureusement, il existe encore des « journaleux » de cet acabit, qui acceptent encore d’accomplir ce genre de missions pour servir les intérêts de leurs commanditaires. Si les Camerounais veulent aller en coupe du monde, les Lions indomptables n’ont qu’à le mériter sportivement sur le rectangle vert du stade Japoma de Douala et celui du Chahid Mustapha Tchaker de Blida.
Il ne s’agit que d’un match de football, qu’il faut gagner sur le terrain, lequel une fois terminé fera partie de l’histoire, qui ne retiendra que son résultat.
Dernières nouvelles