Assane Diao a pris la parole sur les réseaux sociaux pour réagir à son forfait à la Coupe d’Afrique des Nations 2025, qui débute dans quelques heures au Maroc. L’attaquant sénégalais de Como a exprimé sa déception après l’annonce de son absence, tout en affichant son soutien à la sélection nationale engagée dans la compétition.
Touché à la cuisse droite lors de son dernier match en club, le joueur souffre d’une lésion du biceps fémoral. Cette blessure met un terme à sa présence dans le groupe et l’écarte de la CAN, alors qu’il espérait disputer sa première phase finale sous les couleurs du Sénégal.
Dans son message publié sur Instagram, Assane Diao est revenu sur une année contrastée. « Parfois les choses ne se passent pas comme tu le souhaites et la frustration de ne pas pouvoir sortir de là est lourde. Mon 2025 se ferme un peu plus tôt que prévu et une année s’achève pendant laquelle j’ai pu vivre les deux visages du football, une grande première partie où j’ai encore apprécié et vivais mon meilleur moment, et une seconde qui est assez dure et avec trop de revers », a-t-il écrit.
Le forfait prive également l’attaquant d’un objectif fort avec la sélection. Il affirme : « Cette fois-ci m’empêche de réaliser le rêve de représenter mon pays lors de ma première Coupe d’Afrique, ce qui me rend très triste et encore difficile à m’intégrer ». Une absence qui intervient au moment où le Sénégal comptait sur lui.
Le cœur avec la sélection, l’esprit tourné vers le retour
Malgré cette déception, Assane Diao a tenu à se placer derrière ses coéquipiers. « Je souhaite de tout cœur le meilleur à mes coéquipiers et que le trophée puisse revenir avec nous au Sénégal », a-t-il déclaré. Un message de soutien aux Lions de la Téranga engagés dans la quête du titre.
L’attaquant de Como a enfin évoqué la suite, tournée vers le travail et le retour. « Je suis concentré et je travaille pour pouvoir être de retour et me sentir un de plus cette deuxième étape de compétition », a-t-il exprimé. Un état d’esprit affiché alors que la CAN 2025 s’ouvre sans lui, mais avec l’objectif collectif toujours au centre.
