Le choc du groupe B entre l’Égypte et l’Afrique du Sud, comptant pour la deuxième journée de la compétition, s’est soldé par une courte victoire des Pharaons (1-0). Un score étriqué qui ne reflète pourtant pas le scénario réel de la rencontre, tant l’arbitrage a pesé sur l’issue du match. L’arbitre a faussé le résultat.
Dans une rencontre engagée et globalement équilibrée, l’Égypte a ouvert le score sur un penalty pour le moins généreux, accordé après une situation litigieuse qui a surpris plus d’un observateur. Le contact, léger et discutable de la main sur le visage de Salah, ne justifiait pas une sanction aussi lourde dans un match de ce niveau, d’autant plus que le défenseur sud-Africain avait l’avantage sur le ballon. Malgré les protestations sud-africaines, l’arbitre est resté inflexible, offrant aux Pharaons l’occasion de faire la différence sur un fait de jeu controversé.
Une autre controverse
Mais le sentiment d’injustice s’est accentué en seconde période. L’Afrique du Sud, loin de se résigner, a multiplié les offensives et poussé la défense égyptienne dans ses retranchements. Sur une action limpide dans la surface, un défenseur égyptien commet une faute de main évidente. Un penalty flagrant, cette fois-ci, que tout le stade a vu, sauf l’arbitre. Après avoir arrêté le jeu pour une vérification auprès de la VAR, Pacifique Ndabihawenimana a estimé qu’il n’avait rien. Le jeu s’est poursuivi avec une relance du gardien égyptien, au grand dam des Bafana Bafana.
Ces décisions à sens unique ont profondément influencé le cours du match. Privée d’un penalty évident et sanctionnée par un autre plus que discutable, l’Afrique du Sud peut légitimement parler de vol. Les joueurs sud-africains, valeureux et disciplinés, sortent frustrés d’une rencontre où leurs efforts n’ont pas été récompensés à leur juste valeur.
Au final, l’Égypte empoche les trois points, mais cette victoire restera entachée par une prestation arbitrale très contestable. Dans une compétition où chaque détail compte, laisser l’arbitrage décider du sort d’un match est inacceptable. L’Afrique du Sud repart avec un sentiment amer, celui d’avoir été battue non pas par son adversaire, mais par des décisions qui ont clairement déséquilibré la rencontre.






