Espagne Foot : les douleurs persistent pour Isco Alarcón suite au violent choc subi contre Utrecht en Ligue Europa le 27 novembre. José Manuel Álvarez, le responsable du staff médical du Real Betis, a annoncé la prolongation de sa convalescence, qui sera réévalué dans les prochaines semaines et il manquera encore plusieurs matchs.
Le dernier rapport médical du Real Betis concernant Isco Alarcón confirme une situation plus complexe que prévu pour le rétablissement du milieu de terrain. Le joueur souffre toujours des suites du violent choc subi lors du match contre Utrecht et ne peut s’entraîner normalement, ce qui prolonge son indisponibilité. Face à cette situation, le staff médical du club a opté pour un traitement plus prudent, reconnaissant que le processus de guérison sera plus long qu’initialement estimé et qu’Isco manquera plusieurs matchs officiels à un moment crucial de la saison.
Isco Alarcón a besoin de plus de temps
C’est dans une déclaration que José Manuel Álvarez, chef du service médical du Real Betis, a expliqué la véritable gravité de la blessure de Isco et le traitement choisi : « La blessure d’Isco mérite d’être expliquée, car il ne s’agit pas d’une simple coupure. Certes, le choc a été d’une violence extrême, au point de provoquer une plaie. Il y a bien une coupure, mais elle résulte d’une contusion très violente. Lorsqu’on reçoit un tel impact au niveau du tibia, la cheville subit un mouvement de flexion-extension très brutal. Cela provoque une gêne articulaire. Outre la plaie, cela engendre un œdème de la jambe qui s’étend jusqu’à la cheville et une petite lésion intra-articulaire au niveau du cartilage », a-t-il commencé.
José Manuel Álvarez ajoute : « Une fois la plaie cicatrisée et les points de suture retirés, nous avons pu travailler sur le tapis, mais pas sur le terrain ni en salle de sport. L’impact lui cause des douleurs et une inflammation lorsqu’il essaie de courir ou de sauter. En collaboration avec l’équipe de traumatologie, nous avons évalué les options thérapeutiques et décidé de commencer une série d’injections de plasma et de plaquettes. C’est un processus plus lent que prévu. »






