Brillant sur les terrains et attachant en dehors, l’attaquant international algérien Amine Gouiri a levé le voile sur une facette plus intime de sa vie, dans une interview diffusée par les réseaux sociaux de son club, l’Olympique de Marseille.
L’occasion pour le joueur de se confier avec sincérité, loin du tumulte des stades. Depuis son arrivée à Marseille en janvier dernier en provenance de Rennes, Amine Gouiri (25 ans) s’est imposé comme l’un des piliers de l’attaque olympienne sous les ordres de Roberto De Zerbi. En pleine confiance, il a récemment signé un triplé éclatant face au Stade Brestois lors de la 31e journée de Ligue 1, dont un but somptueux inscrit sur une bicyclette acrobatique après un contrôle de la poitrine. Une réalisation qui fait déjà figure de candidat au plus beau but de la saison. Lors de cette entrevue à visage humain, Gouiri a répondu à une série de questions personnelles. Il a confié être un amoureux de la couleur bleue, un choix sans doute influencé par les couleurs du club phocéen. Sur le plan culinaire, il a affirmé son attachement à ses racines en désignant le couscous algérien comme son plat préféré. Côté musique, c’est le rap qui accompagne son quotidien.
«Le bleu, le couscous, et… mon fils !»
Mais c’est en évoquant sa famille que l’attaquant s’est montré le plus touchant. «La naissance de mon fils est le plus beau moment de ma vie». Il a également souligné l’importance de ses proches dans sa stabilité, précisant qu’il reçoit toujours des appels de sa famille après chaque match et qu’il préfère passer ses vacances en leur compagnie, notamment à Dubaï. Comme idole de jeunesse, Gouiri cite Karim Benzema, aujourd’hui joueur d’Al-Ittihad, qu’il admirait pour ses qualités offensives. Mais la surprise vient de son admiration pour Michael Jordan, qu’il considère comme son modèle sportif absolu, tous sports confondus. «Quand j’étais petit, je ne rêvais que d’une chose : devenir footballeur professionnel. Et ce rêve, je l’ai réalisé», conclut-il.